Vouloir publier un roman, câest aussi devoir faire preuve de patience, car plusieurs Ă©tapes dans sa crĂ©ation consistent simplement Ă attendre.
Et câest justement lâune de ces pĂ©riodes dâattente qui a dĂ©butĂ© ce week-end avec le passage du projet en phase de bĂȘta-lecture. Pour ceux qui ne le savent pas encore, la bĂȘta-lecture câest assez simple : on envoie le manuscrit Ă des volontaires pour quâils/elles le lisent. Le but : vĂ©rifier que lâhistoire fonctionne comme on aimerait (pour un roman policier, ça permet par exemple de sâassurer que le coupable nâest pas dĂ©masquĂ© par les lecteurs et lectrices au bout de 50 pages).
AprĂšs avoir fini mes corrections vendredi, jâai donc fait parvenir mon livre, sous forme de fichier PDF bien sĂ»r, Ă une quinzaine de bĂȘta-lecteurs et bĂȘta-lectrices qui ont Ă prĂ©sent la lourde tĂąche de le lire et de le juger.
Je me retrouve ainsi condamnĂ© Ă attendre que ces adorables volontaires trouvent le temps de parcourir les 300 pages de roman, avec lâimpatience de recevoir les premiers avis pour savoir si la mayonnaise a pris ou si la réécriture est un fiasco sans nom.
Par chance, ce petit rĂ©pit me donne lâoccasion de lire les derniĂšres sorties des maisons dâĂ©dition chez qui jâaimerais ĂȘtre publiĂ©, un travail tout aussi utile ! Donc mĂȘme si ce nâest pas mon moment prĂ©fĂ©rĂ©, je vais avoir largement de quoi mâoccuper lâesprit đ

Répondre à Lieserl V Annuler la réponse.