Je me rends compte que ça fait quasiment trois mois que je ne vous ai pas donné de nouvelles ! Du coup, petit article pour vous tenir au courant des dernières « avancées ». Vous allez vite comprendre pourquoi je mets des guillemets.

Première chose, et c’est sûrement le plus important, soyez assurés que je n’ai absolument pas laissé tomber le projet. Depuis mon dernier article, il ne s’est pas passé une semaine sans que je ne planche sur le manuscrit, même si ce n’était généralement pas pour des sessions d’écriture très longues. Entre la période de travail assez chargée et le retour du beau temps, il faut dire que les créneaux de disponibilité ne se bousculaient pas au portillon. Pour autant, Le Pénitent n’a certainement pas été mis au placard.

Alors pourquoi des guillemets à avancées ? Et bien, vous l’aurez deviné avec le titre, tout simplement parce que je me suis retrouvé bloqué. Un blocage long d’environ trois semaines, sur le début de mon chapitre 21. Quelle que soit l’angle par lequel je le prenais, quelque chose clochait. Et en général, quand un blocage subsiste à ce point, c’est que le problème se situe en amont. J’ai donc fini par revenir quelques chapitres en arrière pour traiter le problème à la racine.

Me voici donc de retour au chapitre 19, que j’ai entièrement réécrit ou presque, afin de remodeler l’intrigue de façon à ne plus arriver dans une impasse deux chapitres plus loin.

La bonne nouvelle, c’est qu’avec l’arrivée de l’été, je vais sûrement avoir plus de temps pour travailler sur le projet. Et si, comme je l’espère, les changements apportés au chapitre 19, puis au chapitre 20, me permettent de franchir l’obstacle du chapitre 21, la fin de cette phase du projet devrait aller assez rapidement. En effet, étant donné que les trois derniers chapitres (23, 24 et 25) sont déjà parfaitement structurés dans ma tête, leur réécriture sera normalement une simple formalité.

Voilà, maintenant vous savez tout ! Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter à toutes et tous une excellente semaine et je vous dis à très bientôt (promis, je ne vous abandonne pas trois mois cette fois).